Le Noctambule
Guil O`Neil n`avit rien d`un vampire sanguinaire;il avait seulement la rétine trop perceptive. Il pouvait à peine supporter la lumière déguagée d`une bougie. Malgré lui, il devait vivre la nuit, ne jamais voir le soleil rouge, la plage chaude; Guil était noctenbule. Sans pouvoir travailler, seul dans sa maison aux fenêtre barricadée, Guil écrivait ; écrivait des romans à s`en user les yeux à force de lire dans la noir. Sans compagne, sans vie socialeà part sa famille qu`il fréquentait peu, il passait ses nuits à écrire , à penser ,.Il croyait froler la schizophrénie, prit dans son cercueuil sans fenêtre. "les salles de billards, les bars, les discothèques, je n`ai jamais rien vu de cela." Il avait même manqué sa vingtaine. Il avait 41 ans depuis le 13 septenbre. " Est-ce pour cela que j`ai tant de malheur? pensait-il Naître un vendredi treize." Il sortait dehors de temps à autres , les soir où la lune était pleine et où un mince brouillard était couché près du sol. Les mêmes nuits que celle du drame , celle où il devint sanguinaire.
Son front dégoutait de sueur, comme si quelque chose le retenait. Il prît son manteau et ses clés puis il franchit la lourse porte. Guil se retrouva dans un bar avec ses vers fumés où il y rencontra une jolie jeune fille. Dans un coin ombragé, ils se trouvèrent beaucoup d`affinitées. Il lui parla de sa vie de prisonnier de la nuit et comment il ne pouvait supporter l`idée de mourrir dans sa cage. Il drevint chez lui accompagné de son affinité. Guil fumait ce qui aurait pût être sa dernière cigarette lorsque la jeune fille commença à prononcer des paroles étranges en murmure inaudible que Guil ne pouvait comprendre. Plus fort qu`elle, l`instinct que lui dictait son esprit l`envahit froidement. Lentement, elle se reposa sur Guil qui éteignit sa cigarette. Il s`élacère pour une dernière fois. Guil cru la sentir rerefroidir lorsqu`il ouvrit les yeux que pour voir les siens. Elle le regardait scultement d`un regard fixe et illuminer. Il lui sembla voir ses griffes s`allonger devant lui et sa mains entière se diriga vers son coeur, qu`elle allait lui arracher. Névrotiquement, il se débatit, aggrippa une paire de ciseau qu`il lui enfonca dans l`abdomen. Elle n`aurait jamais prévut se revirrement inusité. Guil, d`un grand coup, remonta la lame froide des ciseau jusqu`a sa poitrine. Ses yeux ébahit le fixait, comme une foudre de douleur chaude remontait son son jolie cou féminin. Même si elle était morte, Guil prit plaisir à la décapité, a reprendre son sang sur le plancher et a s`enduire de celui-ci. La regardant éteinte sur le plancher maintenant fétide d`odeur de sang, une fatigue ressemblant a une transe hypnootique l`assaillit.
Un vide noir l`entourrait. Sa progression était lente et incertaine. Il ne croyait pas s`enfonçer tellement il sentait qu`il l`était deja bien assez. Il atteingnit enfin une espèce de trône fait d`os et d pierre noueuse. Subitement, une lumière transcendante descendit en une éclaire lente et frappa le trône, l`illuminant d`une verdure aveuglante. Son intensité s`affaiblissa et Guil pût enfin la regarder. Une voix s`éleva dans l`obscurité, plus noire que les ténèbres elles-même. " Ookba lemura mortifica dy Kra-Bretha. Sisticum inferna kul. Tormentum affecta dy humana. Mortificas transcenda in Gytas." La luminosité verte se rua subitement sur Guil, criant de douleur par cette pénétration indésiré. Guil se réveilla de se cauchemar dont les paroles le hantère, baignant dans le sang devenu froid.
La pleine lune était de retour. Le libido meurtrier prenait le dessus sur Guil. Il entendit encore les paroles entendues dans son rêve et dont il ne comprenait rien. Comme hypnotisé, il prit son manteau et ses clées puis il partit pour ce même coin ombragé. Il ne revint pas seul. Tout deux sautèrent au lit et firent un tour sous les couvertures. Après une aventure effreinée a travers l`un l`autres, la voix vint hanté Guil de nouveau, répétant toujours les mêmes paroles: "Mortifica transcenda in Gytas. Mortifica transcenda in Gytas." Alors Guil lui dit qu`il allait chercher de quoi manger un peu, mais il revint Avec un pied de biche qu`il lui enfonca dans le crâne. Des morceaux de cervaux alléerent attérir partout dans la pièces. Comme possédé. il la decapitat encore dans un même rituelle, orchestré par la voix répétant toujours les mêmes paroiles hypnotiques qu`il prononcait à haute voix.
Une autres pleine lune atteint la Terre de ses tentacules blanches et froides. Le coin ombragé était encore occupé par le gentil Guil et une femme. Cette fois-ci, elle voulu aller chez elle chez elle pour la suite de la soirée. Ils ne restèrent pas longtemps dans le bar, tout deux atteint de désirs malicieux mais bien différents. Sous peu, Guil, étant atteint du désir de tuer, sortit une petite faux de ses pantalons. La femmes le vit avant d`être assainé d`un coup fatale. Elle courue vers vers la cuisine où elle vit qu`elle n`avait pas le temps de se choisir une arme dans les tirroir qui gisait devant elle. Le garage fut sa deuxième option.
Elle prit un marteau qui était suspendu et attendit Guil derrière la porte. Lorsque Guil franchit la porte, elle le frappa avec les oreilles du marteau. Comme si elle eu peur de l`avoir manquer, elle planta une trentaine de coups dans le crâne de Guil. Elle y prit égalemant plaisir et le démon de la conscience sanguinaire continua a répendre le sang volant d`âme en âme vers la perte humaine.